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“Le projet Sycomore fait vraiment réfléchir. À ma connaissance, il n’existe rien de semblable. Ça nous fait réfléchir à nos sentiments et à ce que nous ressentons. Ça change nos impressions par rapport aux victimes et tout ça. J'ai fait l'ETS [Enhanced Thinking Skills – Note du traducteur: un programme en milieu carcéral qui vise à changer la perspective des détenus sur la délinquance] et ça c'était facile. On connait déjà toutes les réponses avant de commencer. Ça ne change rien. Le projet Sycomore, lui, est différent parce que c'est ce qui est en nous qui est abordé.”
Une personne détenue en Angleterre
“ J'ai vu un homme assassiner mon père. Je porte cette blessure et cette haine depuis plus de 25 ans. Pour la première fois, je peux vraiment dire que j'ai pardonné au meurtrier de mon père. Ce sentiment est quelque chose d'indescriptible.”
une personne victime néo-
Le projet Sycomore® donne à des auteurs et des victimes de délits qui ne se connaissent pas entre elles, une occasion de parler de la réalité de la criminalité et de la délinquance et de leurs effets sur leur vie. Les victimes peuvent raconter leur histoire et entendre celle des délinquants qui eux, viennent à comprendre l'effet de la criminalité sur les victimes et la société... et se responsabilisent.Les témoignages de participants ci-
Les évaluations de changements d'attitudes chez les délinquants participant au projet confirment cet effet. En Angleterre et au Pays de Galles 2188 prisonniers participant au programme ont rempli des questionnaires avant et après l'avoir suivi. Ces questionnaires, qui proviennent de l'outil d'évaluation Crime-
• Une amélioration significative de l'empathie envers les victimes chez les détenus participants.
• Des preuves solides de changements importants, statistiquement significatifs, dans les attitudes face au comportement délictueux
• Des données indiquant que le projet Sycomore® a aidé à des changements d'attitudes susceptibles d'entraîner une réduction de la récidive.
Une étude du projet Sycomore® en Nouvelle-
En 2007, une thèse venant du Lucy Cavendish College (Cambridge, Royaume-
Des données anecdotiques suggèrent que le programme améliore aussi le comportement des détenus pendant l'incarcération. Selon Kim Workman, directeur de Prison Fellowship en Nouvelle-
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